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blog d'elise viane, valentine wallyn et emeline ryckebusch. tpe.. publié dans : non classé | le 7 mars, 2014 | pas de commentaires » -- avant-propos… l a prostitution est un acte sexuel contre de l’argent. l ’anonymat, le choix du partenaire pour le client, le plaisir exclu définissent . cependant, ce n’est parce qu’une personne a plusieurs partenaires ou qu’elle reçoit des cadeaux qu’elle entre dans le système prostitutionel. passe selon les pays du statut légal à totalement illégal. en france, elle est légale mais les activités organisées comme les maisons closes et le proxénétisme sont bien évidement interdites mais ce n’est pas forcément le cas dans tous les pays. on rencontre dans dans certains pays des femmes et même des enfants que l’on « vend » comme objet sexuel, dans d’autres pays la prostituée bénéficie d’un statut social, parfois même des remboursements par la sécurité sociale pour un certain nombre d’acte par mois à leur client. parfois, elles sont considérées comme victimes et leurs clients comme criminels. les avis sont partagés dans la population, certains pensent que les femmes publiques, les putains, les femmes de petite vertu dont le métier a traversé les époques, tantôt réprimé tantôt toléré sont nécessaires à l’équilibre social en limitant les viols et en permettant même dans certains cas au mariage de durer. en opposition, d’autres pensent qu’il faut remettre en cause le phénomène car il y a souvent à la base un trafic d’êtres humains organisés. publié dans : non classé | le 7 mars, 2014 | pas de commentaires » -- en quoi peut-elle être considérée comme une profession? il est tout d’abord abusif de prétendre que la personne prostituée “vend son corps”. elle ne vend rien. pas un cheveu, pas un cil, ni un poil. c’est un contrat de fourniture de service sexuel moyennant rémunération. d’une part c’est traditionnellement aux femmes que revient le devoir de subvenir aux besoins d’une famille, surtout des enfants dans certains pays. en raison du manque de travail et la tendance généralisée à considérer le travail féminin comme main d’œuvre, les femmes (mais pas que) tombent dans le chômage et la précarité. la prostitution est donc très fréquente. l’histoire… depuis toujours est présente en france comme partout dans le monde. cependant, ses formes et ses causes varient au fil du temps. -durant l’antiquité, était jugée dégradante, mais elle était cependant licite. -au moyen-age, est toujours considérée comme naturelle. dans l’esprit de l’époque, les femmes sont bien intégrées dans la société, elles ne sont pas mises à l’écart. les femmes deviennent prostituées pour des raisons financières, parce qu’elles sont sans ressources pour une raison ou pour une autre. mais il existe aussi une prostitution de femmes qui reçoivent discrètement des hommes chez elles. au fur et à mesure des années, la prostitution prend une très grande ampleur. la suppression était donc envisageable. a partir du xvie siècle, la fermeture des maisons se généralise dans toute l’europe. a partir de ce moment, sera pourchassée mais il lui suffit désormais de s’adapter et de se développer dans la clandestinité. -la période moderne a été marquée par la volonté de lutter contre . auparavant, se déroulait plutôt librement dans plusieurs quartiers, toutefois, les autorités de la ville ont été obligées de la limiter à deux rues et à interdire le racolage tant le phénomène avait prit de l’ampleur. les prostituées qui ne respectaient pas ses règles étaient emprisonnées. il y a 3 types de prostituées à mettre en évidence: tout d’abord, les courtisanes qui travaillent à leur compte. ensuite, les prostituées qui travaillaient dans les bordels. (elles louaient une chambre aux tenanciers, souvent un couple, qui les hébergeaient et nourrissaient) enfin, les femmes qui travaillaient exclusivement dans la rue. la fin des maisons closes : a paris, en 1953, il y avait environ entre 40 000 et 70 000 prostituées, et on comptait approximativement 500 bordels. les brigades des mœurs, avec l’accord du préfet ferment quelques maisons pour montrer l’exemple. dans la seconde moitié du xxe apparaissent de nouvelles formes de prostitution sanctionnées. une ordonnance de 1958 va faciliter le travail de la police et faire passer le racolage du statut de délit à celui d’infraction. les maisons closes furent fermées en 1946 par la loi marthe richard. (voir article sur la législation) publié dans : non classé | le 7 mars, 2014 | pas de commentaires » -- quelles sont les causes de ? la pauvreté et le chômage, combinés à une forte tradition, constituent les causes principales de . en tout cas, la plupart des jeunes filles rentrent dans le milieu de afin de survivre et non par projet de vie. elles en font leur principale source de revenue et par ricochet leur métier qu’elles exercent avec autant d’éthique, de rigueur et de dévouement que peut exiger n’importe quel autre métier. a la différence que ce métier-là vous colle la honte et le vice à la peau. l’honneur est rapidement tronqué contre de l’argent. la pauvreté, clé de pourquoi et pas autre chose ? du côté de l’ensemble de la société, on ne trouve aucune excuse à ces « filles de joies » et ne comprend pas le choix délibéré de ces dernières de gagner leur vie à la sueur de leur fesses et non de leur front tandis que celles qui sont prises dans le filet du vice affirment y sont acculées par la misère et ne peuvent donc en ressortir.elles sont ainsi nombreuses à entrer dans le métier dans l’intention d’en ressortir dès que leur situation financière va s’améliorer mais c’est sans compter avec le goût du gain facile qui s’installe à la longue et la situation économique du pays qui ne s’arrange guère. et la plupart du temps se sont des serveuses de bars, des coiffeuses, des couturières, des élèves, des étudiantes, des petites commerçantes, des ouvrières, et même des secrétaires qui le jour exercent sagement leur métier ou vaquent à leurs études mais la nuit tombée, se transforment en « belles de nuit ». si d’aucuns n’excusent pas leurs choix, ces prostituées estiment n’avoir malheureusement d’autres recours. d’ailleurs à lomé, 60% des travailleuses du sexe ont moins de 24 ans et dans la majorité des cas, ce sont des filles mères, issues de milieux défavorables ou des produits de l’exode rural dont la pauvreté a été l’élément clé de leur dépravation.ainsi très jeunes c’est à elles, qu’incombent la lourde charge des bouches qui ne demandent qu’à être nourris qu’importe la provenance de l’argent. « l’argent n’a pas d’odeur » dit-on. ainsi au vu de tout cela, il serait tentant de dire que a encore de beaux jours devant elle du moment ou malgré qu’on la condamne en façade, dans le secret des chambres et des familles, c’est elle qui fait vivre. publié dans : non classé | le 7 mars, 2014 | pas de commentaires » -- en quoi peut-elle être une exploitation? qui exploite ? est considérée par des institutions mondiales comme les nations unies comme une exploitation et une atteinte de l’homme. personne n’imagine pouvoir adoucir l’esclavage ou la torture en les réglementant. bien que pouvant être un métier le proxénétisme est inséparable de : comment imaginer qu’une activité rapportant autant d’argent n’attire de profiteurs? le proxénétisme est une entreprise commerciale de dimension mondiale souvent géré par des réseaux criminels également impliqués dans le trafique d’armes et de drogues. les proxénètes ont de multiples visages, des «amis de cœur» aux caïds internationaux en passant par dealers. sous des dehors innocents d’homme d’affaire, beaucoup de grands proxénètes bénéficient d’appuis importants «policiers,judiciaires, policiers » et exercent tranquillement leurs activités. les proxénètes utilisent désormais la toile, librement, afin de dénicher leurs futures proies. hommes , femmes , ils sont, la plupart du temps , recrutés par les réseaux sociaux ou les sites de discussion en ligne. les proxénètes les appâtent en leur promettant de jolies carrières de mannequins